Regrettant pour sa part que l'on puisse envisager de cantonner la consultation populaire à une simple réponse positive ou négative, M. Jean-Jacques Mirassou a estimé que les enjeux méritent de plus larges débats et, quoi qu'il arrive, nécessitent la prise en considération de ceux qui se sont déplacés pour participer aux votations. Puis, reconnaissant qu'il y aura sans doute deux blocs opposés au moment du vote sur la réforme du statut de La Poste, il a suggéré de recourir à l'arbitrage du peuple souverain sur un sujet qui ne présente pas un caractère d'urgence extrême.