Il faut définir des sous-quotas. Aujourd'hui, sur 1 250 milliards d'euros de produits d'assurance-vie, on compte 1 000 milliards d'euros d'investissements de court-terme sur le marché monétaire ou des marchés assimilés, et 200 milliards de valeurs mobilières, réparties à peu près également entre des obligations et des actions. Il faut faire en sorte d'augmenter la part des contrats en unités de comptes, par opposition aux contrats monétaires, et au sein des premiers la part des actions. Les sommes en jeu sont si considérables qu'il suffit de modifier légèrement les pourcentages pour satisfaire les besoins des entreprises émergentes.