a estimé que le modèle économique de l'ONF est viable si l'Etat ne préempte pas, par avance, ses profits. Il a observé que l'office doit disposer des moyens lui permettant de faire face aux nombreux objectifs qui lui sont assignés. Il a ainsi donné l'exemple des provisions que l'office doit pouvoir constituer. De même, il a indiqué qu'il demande au Gouvernement de faire bénéficier l'ONF d'une fraction du futur grand emprunt de manière à pouvoir accroître ses fonds propres. S'agissant du bail emphytéotique sur le bâti domanial, il a expliqué qu'il est cohérent de ne pas dissocier les différents types de propriétés existants au sein des forêts publiques, même si le coût de l'opération pour l'ONF est élevé. En ce qui concerne le déménagement du siège de l'office, il a précisé qu'il s'agit d'une décision du Premier ministre, consécutive à la réorganisation de la carte militaire.