a alors précisé que le montant global des crédits de compensation par l'Etat des surcoûts de la mission de service public de transport postal de La Poste était reconduit à l'identique, mais qu'une partie d'entre eux était supportée par la mission budgétaire « Médias », ce qui expliquait leur niveau dans le cadre de la mission « Economie ». Puis, rappelant que les rapports successifs sur le transport de presse avaient tous conclu à la nécessité de supprimer la contribution de l'Etat afin que ce transport soit financé de manière plus économiquement orthodoxe, il a souligné l'importance de parvenir à pérenniser ce service. Enfin, répondant à la sollicitation de M. Jean-Paul Emorine, président, il a retiré son amendement et indiqué qu'il interrogerait le Gouvernement sur l'affectation du produit des 600 millions d'euros lors de son intervention en séance publique.