a rappelé que l'agriculture française, qui comptait deux millions d'exploitation en 1950, en dénombre 550 000 aujourd'hui et sans doute 300 000 seulement dans dix ans. Estimant que l'installation des jeunes agriculteurs devait se faire dans de bonnes conditions, en termes de formation et de capacités de financement, il a appelé à engager une réflexion plus poussée sur la pérennité des petits abattoirs afin notamment d'éviter que les collectivités territoriales ne soient appelées à subventionner pour maintenir artificiellement l'activité.