Reconnaissant que le ministre avait obtenu un accord européen moins mauvais qu'on n'aurait pu le craindre, M. Alain Fauconnier a regretté toutefois des reculs sur certains volets, tels que les interventions, les quotas laitiers et les aides couplées, et s'est inquiété d'une évolution libérale de la PAC fragilisant le modèle territorialisé d'agriculture cher à la France.