a salué le travail d'audition réalisé par le rapporteur, auquel il a été associé à plusieurs reprises, puis il a regretté le décalage entre le caractère extrêmement modeste du plan de relance et les objectifs particulièrement ambitieux affichés dans le projet de loi de programme du Grenelle de l'environnement. Prédisant un blocage de l'application des mesures de ce texte en raison de l'insuffisance des financements prévus, il a estimé que l'environnement était, en réalité, une affaire de riches et que de nombreux pays n'auraient pas les moyens de suivre la France dans la fixation d'objectifs aussi vertueux. A cet égard, il a reconnu que si l'ensemble des commissaires partageaient les mêmes ambitions, le Parlement ne pouvait pas se permettre de légiférer en votant des lois qui ne seraient pas applicables.