Nous sommes submergés par une avalanche de textes. Nous avons beau être très présents en commission, il est difficile pour tous les groupes de siéger en nombre en séance si tardivement. Mais c'est la première fois qu'on a aussi peu traduit l'esprit et la volonté de la commission. On aurait voulu que le rapporteur puisse faire prévaloir ce qui avait été dit ici, même si l'on peut comprendre des positions personnelles.
Nous continuerons à dénoncer nos conditions de travail car on nous laisse si peu de temps pour examiner la loi bioéthique qu'il faudra réunir la commission pendant la semaine où le Sénat ne siégera pas. Et il nous faudra subir cela pendant un an encore... Nous ferons tout pour que ça change !