a souligné que l'engagement du Québec en faveur de la défense du français avait connu une traduction puissante par la création d'une commission de terminologie chargée de préserver l'intégrité de la langue française, en proposant des évolutions terminologiques suffisamment rapides pour prévenir l'intrusion durable de mots issus de langues étrangères dans la langue française, notamment dans le domaine des nouvelles technologies de l'information et de la communication. Il s'est interrogé sur l'existence d'une coopération entre les autorités linguistiques françaises et leurs homologues québécoises en matière de lutte contre le déclin de la langue française.