a rappelé que la France disposait également d'une commission de terminologie travaillant en étroite coordination avec son homologue québécoise.
Il a précisé en outre, que des efforts étaient mis en oeuvre par le Gouvernement pour s'assurer que les représentants de la France au sein des organisations internationales s'y expriment en français, ne serait-ce qu'au début de leurs interventions. A ce titre, il a rappelé que la présidence française de l'Union européenne se déroulait intégralement en français.