a souhaité disposer de précisions sur les ressources extra-budgétaires affectées aux missions du ministère de la culture et de la communication ainsi que sur la pérennité de ces recettes.
Il a relevé que l'augmentation des dotations et des subventions était calculée en euros constants, ce qui traduit en réalité des diminutions budgétaires, en particulier dans le secteur du spectacle vivant.
Il a plaidé pour que les crédits de la mission culture ne soient pas affectés par les procédures de gel de précaution.
Après avoir souligné l'effort croissant du ministère de la culture et de la communication en faveur de la diffusion de l'éducation artistique, il a déploré le désengagement du ministère de l'éducation nationale dans ce domaine, alors même que l'école joue un rôle essentiel d'accès aux arts auprès des jeunes.
Il s'est inquiété de l'utilisation de la redevance audiovisuelle pour des actions relatives à l'extinction de l'analogique.
Enfin, il a demandé des indications sur l'annonce d'un changement d'implantation du siège de l'INRAP.