Je n’ai pas souhaité polémiquer lorsque vous avez remis en cause, il y a quelques jours, le fait que l’industrie automobile puisse constituer une créance sérieuse à moyen terme. Je pense néanmoins qu’il faut que nous restions dans les limites du convenable au sein de cet hémicycle, y compris en cas de désaccord. En l’occurrence, j’ai des doutes sur le caractère de votre intervention, madame Bricq.