a souligné que si l'Etat contribuait au quart du budget de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris, il ne versait aucune contribution au budget des services départementaux d'incendie et de secours.
Il a indiqué qu'aux difficultés d'équipement de la Brigade avaient pu s'ajouter des mauvais choix de matériels.
Estimant que le déficit d'encadrement de la Brigade était préoccupant, il a relevé que de nombreux sapeurs-pompiers formés par elle poursuivaient leur carrière dans les services départementaux d'incendie et de secours.