s'est enquis de la situation de l'archéologie préventive, évoquant plusieurs dysfonctionnements :
- mauvais recouvrement de la redevance (20 millions d'euros, à ce jour, sur 80 millions d'euros prévus) ;
- problèmes de trésorerie de l'Institut national de recherche archéologique préventive (INRAP), entraînant des retards de paiement des fournitures et des difficultés pour les DRAC et les collectivités territoriales ;
- poids excessif des dépenses de fonctionnement et de communication, au détriment des emplois scientifiques et techniques et des emplois de terrain ;
- retards considérables des chantiers, etc.