s'est demandé si l'objectif annuel d'économies sur les achats publics, évalué à 50 millions d'euros par an, pourrait être tenu après 2006, dans la mesure où les bons résultats obtenus en 2005 plaçaient chaque année la barre de plus en plus haut.
Par ailleurs, il s'est demandé si l'enjeu de la délocalisation des activités des PME françaises ne devait pas également être pris en compte par les acheteurs publics dans la conduite de leur politique de rationalisation des coûts les conduisant, par exemple, à réserver une part desdits marchés à ces PME. De cette façon, il a exprimé son souci d'accompagner la modernisation des activités des PME françaises, qu'il ne fallait pas confondre avec la soutien à des entreprises non compétitives.