a confirmé l'ampleur de ces créations d'emplois et ajouté qu'il devrait y avoir 3.000 recrutements supplémentaires au cours de l'année 2006. Il a jugé délicate la question de l'adéquation entre les recrutements et les besoins, estimant qu'on avait trop tendance à considérer les besoins à partir du seul critère de l'inscription des étudiants en première année. Il a déclaré que cela avait entraîné un développement excessif de filières aujourd'hui « problématiques ». Il a expliqué qu'il convenait, dès lors, de définir une « politique de l'offre universitaire », fondée non seulement sur le critère de l'inscription des étudiants en première année, mais aussi, notamment, sur la politique nationale de la recherche ou sur le marché de l'emploi.