a observé que la bonne tenue d'un centre dépendait souvent des contacts entretenus avec les détenus par le chef du centre. Citant l'exemple du centre de rétention de Metz, qui devrait passer prochainement de 30 à 90 places, il a jugé que son directeur aurait beaucoup de mal à maintenir la même relation compte tenu de l'accroissement de ses tâches de gestion et du nombre de retenus. Il a évalué à 70 le seuil à ne pas dépasser.