a considéré que le retard du projet de loi relatif à la gendarmerie nationale serait gênant, mais que cette période intermédiaire serait gérée par l'attribution au directeur général de la gendarmerie nationale, à titre provisoire, de compétences particulières.
S'agissant de l'avenir des deux principales structures de police scientifique, elle a déclaré que la fusion n'était pas envisagée et qu'il était important de conserver en l'espèce deux visions de la matière.
Enfin, à propos des transfèrements et extractions judicaires, tout en remarquant que des progrès avaient été accomplis ces dernières années, elle a jugé nécessaire de passer à la vitesse supérieure en responsabilisant financièrement le ministère de la justice.