a regretté le manque de clarté des documents budgétaires et la faiblesse des crédits en euros constants. Puis il a dénoncé les retards de paiement de l'Etat, qui peine à honorer ses engagements, comme pour le théâtre d'Arras ou la scène de Dunkerque.
Après s'être inquiété du gel annoncé des crédits budgétaires, il a demandé des précisions sur les retours financiers liés à l'opération du Louvre à Abou Dhabi. Enfin, regrettant l'absence de participation de l'Etat au financement du projet du Louvre à Lens, il a jugé insuffisant le budget en faveur de la culture.