La réactivation d'un observatoire des prix est une bonne chose, car nous produisons aujourd'hui trop cher et le prix est évidemment une variable décisive.
S'agissant de la contractualisation, ne pensez-vous pas qu'il faut impliquer la distribution au risque, sinon que le face-à-face entre producteurs et transformateurs n'aboutisse à des contrats peu satisfaisants.
Une autre question, plus technique : ne devrait-on pas changer la règle qui oblige un jeune agriculteur à apporter du foncier en adhérant à un Gaec ? Elle rend plus difficile l'installation, alors que les jeunes agriculteurs pourraient tout à fait apporter du foncier après quelques années.
Enfin, reviendra-t-il à l'interprofession de fixer les plans de campagne et les volumes des AOC et autres produits avec indication d'origine géographique ?