a précisé que les attentats de Londres avaient surtout démontré l'efficacité de la vidéosurveillance dans la phase d'enquête et d'investigation. En revanche, il a estimé que les résultats étaient plus nuancés et incertains en matière de prévention de la délinquance. Le facteur « vidéosurveillance » est difficile à isoler d'autres facteurs concourant à la prévention et il est par définition délicat de mesurer des faits non advenus.
Toutefois, il a déclaré ne pas croire à un report massif de la délinquance vers les zones non placées sous vidéosurveillance, hormis pour certains types d'infraction.