Après avoir noté que les centres de semi-liberté n'avaient pas besoin d'un niveau de sécurité équivalent à celui des établissements pour criminels dangereux, M. Jean-Jacques Hyest, président, relevant le fonctionnement satisfaisant du centre de Meaux, a souligné l'intérêt de permettre à des personnes en semi-liberté de pouvoir revenir le soir au centre et a observé que cette faculté n'était possible que si ce dernier se situait dans une zone urbaine bien desservie par les transports en commun.