a jugé utiles l'enquête de la Cour des comptes et l'audition qui avait suivi, indiquant que celle-ci avait bien montré « le dynamisme et l'opiniâtreté » des bénéficiaires d'aides du FISAC. Il a rappelé que, notamment en zone rurale, le commerce était moins une affaire d'argent que de commerçants, et que les vocations manquaient.
Il a souligné la nécessité, pour un fonds tel que le FISAC, d'avoir un champ de missions précisément défini et de représenter une part significative du financement des projets soutenus, sous peine de se réduire à « un guichet qu'on actionne au lieu de constituer une force d'impulsion ». Il a plus largement regretté le phénomène trop répandu de « chasse aux aides » auprès de nombreuses administrations, certes susceptible de développer des « partenariats » au plan local, mais peu optimal en termes d'efficience administrative.