a de nouveau souligné l'importance d'agir de façon significative, et non à la marge, afin d'avoir une plus grande efficacité. Il a, d'autre part, souligné qu'il convenait de simplifier l'architecture étatique, dont la lourdeur et la complexité expliquent, pour partie, le niveau actuel des prélèvements obligatoires.
Puis il s'est interrogé, revenant sur le rôle particulier dévolu au FISAC en cas de crise, sur l'origine des 30 millions d'euros débloqués pour que le FISAC puisse aider les commerces réunionnais affectés par l'épidémie de chikungunya.