s'est interrogé sur la dérive qui s'est produite dans le champ de la commande publique et a évoqué son affaiblissement. Il a plaidé en conséquence pour une véritable remise à niveau de la commande publique.
Préconisant la mise en oeuvre d'une politique publique ambitieuse, il a considéré que l'Etat, en relation étroite avec les régions, devait rester au centre des actions. Il a ainsi cité les opérations de prêts d'oeuvres d'art.
Face à une opinion dans son ensemble réticente à toute démarche novatrice dans le domaine de l'architecture, il a encouragé les acteurs publics à conserver une approche volontariste et ambitieuse en la matière.