s'est félicité du mouvement engagé par la Chancellerie, se déclarant positivement impressionné par les réponses faites au cours de la présente audition. Il a estimé que celle-ci constituait, notamment grâce aux travaux menés par la Cour des comptes, une illustration de l'utilité de la LOLF, qui a suscité une prise de conscience salutaire de la nécessité d'ouvrir la justice sur l'intérêt d'une gestion performante. Il a également considéré que cette audition démontrait la compatibilité de deux principes constitutionnels, à savoir l'indépendance de l'autorité judiciaire et l'obligation pour tout agent public de rendre compte de sa gestion. Il a émis le souhait que les prochaines audiences de rentrée des juridictions fassent état du bilan de la mise en oeuvre de la LOLF.