a salué la qualité du travail effectué par la Cour des Comptes, notamment l'effort louable de comparaison internationale des systèmes de pensions militaires. Il a rappelé qu'il revenait au ministère de la défense de rendre attractif un métier exigeant et de maintenir un corps d'armée jeune. C'était en ce sens qu'il fallait envisager l'existence des bonifications de pension.
Il a très vivement regretté la difficulté d'informatisation du traitement et de la liquidation des pensions qui permettrait, pourtant, de réelles économies. De plus, elle garantirait une adaptation plus rapide lorsque des évolutions du régime des retraites sont prévues par la loi, telles que la décristallisation des pensions précédemment évoquée.
Enfin, observant que le placement en deuxième section était théoriquement lié à la possibilité de rappeler en activité les officiers supérieurs concernés, il a souhaité savoir dans quelle mesure cette contrainte d'activité s'exerçait. Il a souligné que ce régime dérogatoire ne pouvait se concevoir que dans la mesure où il correspondait réellement aux besoins des armées.