Je vous pose les trois mêmes questions que Jacques Mézard, auxquelles j'ajoute une interrogation au sujet de l'inscription de la RN 122 dans ce schéma. Du fait d'absence d'informations, nous sommes dans une totale incertitude sur le contenu de cette inscription et sur ses conséquences concrètes ; par ailleurs, la manière dont ce schéma national a été élaboré m'interpelle : on prévoit de grandes voies d'aménagement du territoire, sans prendre en compte le fait que cette RN 122, qui traverse le Massif central, entre l'A 75 et l'A 20, s'arrête à Figeac. Les quarante derniers kilomètres restants pour rejoindre l'A 20, et donc bénéficier d'une ouverture vers le Sud-ouest, devront en effet être réalisés par voie départementale. Cette situation est regrettable et constitue à mon sens une opportunité manquée à laquelle, j'espère, il est encore temps de remédier. Ce point, et les trois questions posées par M. Mézard, conditionnent vraiment le développement de toute une partie du Cantal, et même du Massif central.