C’est de spéculation qu’il s’agit ! Il est bien beau d’élaborer divers textes à l’encontre des vilains banquiers et des spéculateurs, mais par le plafonnement de 5 % basé non pas sur la plus-value mais sur le prix de cession final, vous favorisez la spéculation !
Je comprends, monsieur le secrétaire d’État, que vous soyez fatigué de nous voir !