a souhaité une évolution dans la répartition des salariés provenant des pays du Golfe et du Maghreb. Elle a jugé que le désintérêt longtemps manifesté par les pays du Golfe vis-à-vis de l'IMA résultait d'une insuffisante prise en compte de ceux-ci dans la stratégie et le fonctionnement de l'organisme. Elle s'est inquiétée de la concurrence résultant de la création d'un Institut espagnol relatif au dialogue avec le monde arabe.