Après que M. Jean Arthuis, président, eut considéré que les malversations constatées à la Société générale résultaient d'une « fraude complexe sur des produits simples », M. Paul Girod a affirmé qu'il était illusoire d'espérer pouvoir tout contrôler, alors que l'innovation financière était permanente et que la régulation s'adaptait avec un temps de retard. Relevant que le débouclage avait eu lieu dans des conditions particulières et un contexte de marché très heurté, il s'est interrogé sur la part qu'avaient représentée ces dénouements dans le volume des transactions du lundi 21 au mercredi 23 janvier.