a successivement évoqué :
- le manque de lisibilité résultant du financement extra-budgétaire des agences de soutien à l'innovation ;
- la nécessité, pour l'ensemble du réseau français de soutien à l'exportation, de coopérer avec les « acteurs de terrain » tels que les pôles de compétitivité, qui pourraient utilement bénéficier de postes de VIE ;
- l'encouragement au développement du capital-risque et du capital-amorçage, en imposant, par exemple, un quota minimal d'investissements de ce type dans les portefeuilles d'assurance-vie.