Permettez-moi d'exprimer mon scepticisme sur le degré de priorité à accorder à la crise iranienne. Lors de notre déplacement aux Nations unies, à New York, le représentant permanent de la Russie soulignait que sa traduction la plus concrète était le développement des ventes américaines d'armement dans la région. N'exagère-t-on pas délibérément la gravité de la menace représentée par l'Iran ?