En réponse à une interrogation de M. Jean Arthuis, président, il a précisé que le responsable de programme aurait recours à la fongibilité des crédits du programme pour couvrir ces nouveaux besoins et qu'un nouvel ordre de priorités entre actions serait établi. En outre, il a rappelé que le programme « Veille et sécurité sanitaires » hébergeait également les crédits d'un fonds d'urgence créé par la loi relative à la santé publique de 2004, à hauteur de 1 à 2 millions d'euros et que ces crédits seraient utilisés en faveur de la lutte contre l'épidémie du chikungunya.
s'est interrogé sur le fait de savoir pour quelles raisons le gouvernement n'avait pas prévu de crédits supplémentaires au sein de la loi de finances rectificative pour 2005.