a observé qu'il ne faut pas se concentrer uniquement sur le nombre de créations d'auto-entreprises car il semble que le taux d'échec parmi elles est très élevé. Par ailleurs, il faut approfondir la connaissance des relations entre les constructeurs automobiles et leurs équipementiers, car on peut craindre que la bonne santé économique des premiers ne s'accompagne pas nécessairement de celle des seconds, alors même que les enjeux en termes d'emplois et de créations de richesses se concentrent sur les équipementiers ;
Enfin, il a regretté que les banques ne jouent pas leur rôle de financement des projets de développement des entreprises, préférant des activités de crédit ou de placement moins risquées.