est intervenu au sujet de l'extinction du signal analogique. Il a regretté que la proposition de loi relative à la lutte contre la fracture numérique crée un fonds sans en prévoir le financement. La liste de réémetteurs à numériser établie par le Conseil supérieur de l'audiovisuel demeure insuffisante ; même en cas d'aide de l'État, le déploiement d'antennes paraboliques dans les hameaux pourrait avoir un effet esthétique contestable. Il a rappelé que la couverture du territoire par la diffusion analogique était supérieure à 99 % de la population pour les grandes chaînes et a mis en avant le risque que certains foyers n'aient plus accès aux programmes de télévision à compter du 1er décembre 2011.