évoquant l'article 10 du projet de loi, a estimé que le conseil d'administration serait aisé à composer dans le cas des universités bidisciplinaires, mais plus difficile à constituer dans celles qui sont pluridisciplinaires, situation qui pourrait être aggravée par la différence de nombre des professeurs par discipline lié à des taux d'encadrement très hétérogènes. Il s'est ensuite interrogé sur l'avenir des agrégations et sur le maintien du budget global aux IUT. Puis il a suggéré que le projet de loi prévoie, s'agissant des présidents en place, s'ils sont rééligibles pour deux mandats ou un seul, et concernant les candidats à la présidence, s'ils peuvent être extérieurs à l'université. Il a enfin critiqué le statut juridique des fondations existantes.