Le délégué général pour l'armement vous répondra mieux que moi, mais sachez que nous négocions la possibilité d'intervenir sur la charge utile, afin de préserver notre savoir-faire. Le leasing, pour Syracuse III, doit faire l'objet d'un calcul très précis, qui n'est pas simple. Nous nous renseignons auprès des Britanniques afin de savoir jusqu'où ne pas aller : la facture finale ne doit pas excéder le gain à court terme. Là-dessus, la franchise britannique est parfois rude.
Pour le renseignement, il est difficile de répondre sur la part de la formation et celle de la technologie ; je vous rappelle que la DGSE relève du ministère de la Défense mais travaille à 10 % pour les armées, à 90 % pour le civil. La direction recrute des spécialistes, au prix du marché, qui n'est pas celui de l'administration...