Tout en reconnaissant que le chantier de l'EPR en Finlande subit actuellement des retards, essentiellement liés au fait qu'il s'agit du premier modèle de réacteur de ce type et aux exigences évolutives de l'autorité de sûreté nucléaire nationale tout au long de l'avancement des travaux, M. Jean-François Le Grand a fait valoir que les légères difficultés, liées à la conception de certains bétons, rencontrées par le chantier de Flamanville n'avaient rien de comparable et ne soulevaient aucune difficulté en matière de sûreté nucléaire. Il a ainsi souligné que l'EPR français devrait être opérationnel selon le calendrier initial. Par ailleurs, notant que les impacts paysagers des champs d'éoliennes étaient très importants, il s'est déclaré favorable à l'allégement des contraintes encadrant l'implantation du « petit éolien ».