Constatant que les producteurs sont toujours la variable d'ajustement des marchés agricoles, M. François Fortassin a ensuite proposé, d'une part, de développer les circuits courts et, d'autre part, d'imposer le double étiquetage des produits issus de l'agriculture, indiquant le prix payé au producteur. Il a considéré que le développement très rapide du photovoltaïque se justifie sur les bâtiments agricoles, mais s'avère problématique sur les terres agricoles ou les espaces naturels. Une obligation de remise en état des terres, à l'instar du régime applicable aux carrières, pourrait être imposée pour éviter une catastrophe écologique.