a estimé que deux démarches diplomatiques en cours actuellement étaient contradictoires. Le projet de renforcement de la relation entre l'Union européenne et Israël, que ne peuvent accepter les pays arabes, risque de compromettre le projet d'Union pour la Méditerranée, qui prévoit de renforcer les liens avec les pays de la rive Sud mais surtout les liens entre ces pays. Elle a considéré que l'installation à Tunis du secrétariat de l'Union pour la Méditerranée, qui serait considérée comme un soutien à un pays où les violations des Droits de l'Homme sont nombreuses, n'était pas souhaitable.