La faible identification de ces étrangers à la vie politique locale est le principal argument avancé pour expliquer ce phénomène.
Dès lors, mes chers collègues, est-il bien raisonnable d’octroyer un droit de vote alors que, jusqu’à présent, aucun besoin profondément ressenti n’a été exprimé, ni aucune revendication clairement formulée ?