Madame la présidente, madame la présidente de la commission des affaires sociales, monsieur le rapporteur, mesdames, messieurs les sénateurs, si cette proposition de loi avait été défendue sous un angle juridique, ses failles et ses faiblesses auraient immédiatement sauté aux yeux de toutes et tous.
Vous avez donc choisi, mesdames, messieurs les sénateurs de la majorité sénatoriale, de vous placer sur un terrain plus politique qu’économique. Permettez-moi donc de rester dans le même registre.
Cette proposition de loi montre au grand jour à quel point la gauche est divisée sur les solutions qu’elle prétend proposer aux Français face à la crise.