Les ports d’outre-mer constituent, nous le savons tous, des poumons socio-économiques essentiels. Leur gestion doit donc être la plus irréprochable et la plus efficace possible.
Les conflits d’intérêts doivent ainsi être prévenus. En effet, si les dirigeants des établissements publics gestionnaires de ports ont des intérêts ailleurs, notamment en raison de mandats exécutifs locaux, le doute pourrait s’insinuer quant à l’objectivité du dirigeant dans sa prise de décision.
Par conséquent, il est utile de prévoir une règle de non-cumul entre la fonction de membre d’un conseil de surveillance et celle de président d’un exécutif local.