Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, au terme de ce débat rapide – mais efficace ! –, je veux dire ma satisfaction devant l’ensemble des travaux accomplis.
Cette proposition de loi traite d’un problème auquel, j’en suis convaincue, nous serons tous confrontés un jour ou l’autre. Si chaque groupe politique de notre assemblée a tenu à exprimer sa vision de la situation, et c’était nécessaire, sur le fond, nous nous sommes efforcés de travailler dans un esprit d’ouverture. Celui-ci a caractérisé les discussions que Francis Grignon et moi-même, qui étions au cœur du sujet, avons eues avec les services du ministère.
À un moment donné, un principe simple s’est dégagé. Tout compte fait, n’est-ce pas cela, le propre d’une bonne loi ? Si tous les textes pouvaient être de cette nature, ce serait formidable ! En tout cas, merci à vous tous !