et au ministre de la coopération, Henri de Raincourt étant rentré du Mali hier ou avant-hier avec des informations sur des exécutions de soldats.
Certains Touaregs ont tenté d'empêcher le recrutement des plus jeunes par des groupes terroristes, n'y restent, mais aujourd'hui on ne sait plus qui fait quoi. Face à cette situation, la France pourrait être un élément modérateur, facilitant la négociation entre les différents acteurs. Nous aurions intérêt à nous occuper de ce foyer de terrorisme bien plus proche de nous que l'Afghanistan.