1287 interventions trouvées.
C'est écrit dans le texte même de l'article 56 ter : les locaux restent affectés au logement étudiant, la gestion est assurée par le CROUS, etc.
Il est souhaitable que cette résidence soit reconstruite en restant à la disposition des étudiants, mais la rédaction de l'article me semble explicite.
Le débat sur l'utilisation d'une langue étrangère dans l'enseignement supérieur a été confus. Il ne faut pas distinguer les étudiants français et les étudiants étrangers, mais les étudiants francophones et les autres. Qu'un étudiant non francophone paie pour suivre en France des cours dans une langue étrangère ne pose aucun problème, pourvu qu'...
L'amendement de notre rapporteure, adopté par notre commission, présente une faiblesse par rapport à la rédaction de l'Assemblée nationale : en supprimant le terme « partiellement », il autorise à nouveau les universités et les grandes écoles à imposer aux francophones de suivre des cours en langues étrangères. L'amendement n° 294 rectifié vise...
Je le maintiens.
Le maintien des antennes universitaires est un élément de démocratisation de l'enseignement supérieur par la proximité.
Vous êtes sans pitié avec le gouvernement !
Comment le gouvernement peut-il proposer cela ?
C'est un sujet majeur : ne passons pas dessus trop rapidement.
Outre les ambiguïtés rédactionnelles, il y a les enjeux linguistiques.
Il ne serait pas mauvais que vous rappeliez demain en Conférence des présidents qu'intercaler ainsi un débat sur l'Europe n'est pas de bonne méthode.
Le débat sur l'introduction de cours en langues étrangères à l'université a été vif à l'Assemblée nationale, occultant le reste du texte. Bien que très inquiet de cette mesure, je me suis abstenu de toute déclaration. Le choix de ne pas utiliser le français pour certains cours est lourd de conséquences. La common law, par exemple, s'étend au d...
Cette loi ne vise pas à donner des cours en anglais à des anglophones mais oblige des étudiants francophones à suivre des cours en anglais. Les grandes écoles soutiennent cette loi car elles souhaitent être dispensées de l'obligation de doubler les cours qu'elles délivrent en anglais de cours en français.
La francophonie n'en a jamais demandé autant ! L'amendement n° COM-25 est adopté.
C'est la faute des absents, non celle de l'office !
La loi doit-elle aller jusqu'à ce niveau de détail ?
C'est extrêmement dangereux ! L'amendement n° COM-48 n'est pas adopté.
Vous oubliez la géographie : dans les campagnes, le BTS est le débouché principal après le bac, et l'on y trouve des jeunes de toutes les classes sociales. Ne soyons pas manichéens.
Nous sommes très attachés à la démocratisation de l'enseignement chez nous. L'État français doit assurer à tous les jeunes Français un égal accès à l'université. Mais il n'a pas ce devoir à l'égard de tous les autres jeunes ! Nous souhaitons les attirer, mais leur demander une participation raisonnable n'a rien de scandaleux. D'autres pays font...
Quelle est l'origine de vos financements internationaux ?