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a confirmé le double problème lié au fait que l'amendement visait les biens immobiliers comme mobiliers. Faisant part de son expérience de membre de la commission présidée par René Rémond, chargé d'étudier les possibilités de transfert de propriété de certains monuments historiques de l'Etat aux collectivités territoriales, il a souligné la dif...
a fait observer que la mission d'information sur les classes préparatoires avait entendu, au cours de ses déplacements, de vives critiques à l'encontre du dispositif actuel d'orientation, qui constitue un chantier majeur. Il a estimé qu'à l'université, une bonne orientation devait être la contrepartie de l'absence de sélection. Puis il a regret...
s'est réjoui de la présence du ministre et a regretté que la coopération et la francophonie fussent associées, faisant courir le risque que la francophonie passe finalement au second plan, alors qu'il s'agissait, selon lui, de deux métiers très différents. Abordant le plan de relance de la francophonie, il a rappelé que la France s'était engagé...
a constaté qu'il était « de bon ton » de considérer la francophonie comme dispendieuse, mais que l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) avait entrepris de réels efforts d'amélioration de sa gestion et qu'un nouvel administrateur avait été nommé début 2006. Il s'est demandé dans quelle mesure la DGCID avait accompagné cette évolu...
a jugé que la francophonie ne devait pas devenir la victime de cette controverse, ni donner l'impression d'une mauvaise gestion des deniers publics. Il a ajouté que les services des institutions de la francophonie étaient aujourd'hui dispersés dans Paris, disposaient de locaux relativement vétustes, et que l'engagement de la France de mettre un...
a rappelé que le rapporteur général avait déposé une proposition de loi complétant et actualisant la loi du 4 août 1994 relative à l'emploi de la langue française, dite « loi Toubon », qui avait été adoptée par le Sénat en novembre 2005, mais n'avait toujours pas été examinée par l'Assemblée nationale. Il a souhaité que le ministre agisse en fa...
a observé que les premiers mois d'un nouveau quinquennat étaient essentiels à la mise en oeuvre réussie des réformes d'envergure. Il a signalé également que ce projet de loi constituait le premier volet d'une réforme plus ambitieuse de l'enseignement supérieur.
après avoir rappelé qu'il avait été enseignant, a estimé que la télévision, souvent critiquée à juste titre, pouvait cependant constituer un outil précieux pour diffuser la connaissance et une information de qualité, mais qu'il convenait aussi d'inciter l'école à former les jeunes pour en faire des téléspectateurs avertis et critiques.
a souhaité savoir comment évoluaient les rapports entre les librairies, d'une part, et les bibliothèques et médiathèques municipales de l'autre. Il a déploré, ensuite, la raréfaction des librairies familiales au profit des librairies à succursales multiples qui vendent également d'autres produits culturels au risque d'une certaine banalisatio...
a estimé que les propos tenus par M. Bertrand Cousin fournissaient une nouvelle illustration de l'incapacité de la France à avoir un bon pilotage de sa politique en faveur de la francophonie. Il a constaté, en effet, que la défense internationale de la langue française n'était en pratique au coeur des préoccupations ni du ministère des affaires...
a évoqué les populations canadiennes de langue française qui, au XVIIIe siècle, sont venues par paroisses entières s'installer dans la région de Boston, et sont restées très soudées. Il a souhaité savoir si, lors de son passage dans cette ville, la délégation avait été informée de cette présence francophone.
a indiqué que celle-ci avait ciblé un champ d'étude volontairement circonscrit, puisque, seuls, près de 9 % des bacheliers généraux et technologiques accèdent aux classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE). Si la mission ne s'est pas donné pour objectif de traiter de la démocratisation de l'ensemble de l'enseignement supérieur ou de la sit...
a établi un lien entre ce sujet et celui évoqué précédemment sur les classes préparatoires aux grandes écoles, puisqu'il s'agit, ici aussi, de permettre à des jeunes de développer leur potentiel. Il s'est inquiété cependant du risque, si le projet exposé était mis en oeuvre, de voir le nombre d'intermittents du spectacle progresser encore.
a marqué son intérêt à l'égard des observations de l'intervenant sur les difficultés de maîtrise de la langue, en particulier pour les garçons. Il s'est demandé si ce phénomène ne portait pas la trace des difficultés spécifiques des garçons des minorités visibles ou des banlieues. Il a ensuite souhaité savoir si on ne constatait pas, sur la pér...
a marqué son intérêt à l'égard des observations de l'intervenant sur les difficultés de maîtrise de la langue, en particulier pour les garçons. Il s'est demandé si ce phénomène ne portait pas la trace des difficultés spécifiques des garçons des minorités visibles ou des banlieues. Il a ensuite souhaité savoir si on ne constatait pas, sur la pér...
a indiqué qu'il ressentait une certaine impression de « déjà vu » face à la permanence des problèmes de la formation professionnelle, qui ont peu varié depuis trente ans. Il s'est remémoré son entrée en fonctions comme jeune secrétaire d'Etat à la formation professionnelle en 1980, en précisant qu'à l'époque, le président de la République avait...
a indiqué qu'il ressentait une certaine impression de « déjà vu » face à la permanence des problèmes de la formation professionnelle, qui ont peu varié depuis trente ans. Il s'est remémoré son entrée en fonctions comme jeune secrétaire d'Etat à la formation professionnelle en 1980, en précisant qu'à l'époque, le président de la République avait...
a également exprimé son accord, ainsi que M. Louis Duvernois, rapporteur, qui a estimé qu'il était tout à fait légitime de confier cette mission à CulturesFrance, sans pour autant en faire l'opérateur unique des saisons culturelles.
a estimé que cette programmation devait dépendre de l'appréciation, au cas par cas par l'ambassadeur, de l'opportunité du projet, et que c'est la spécificité du territoire, et non le souhait de CulturesFrance de promouvoir une manifestation en particulier, qui devait commander le choix des spectacles.
a fait valoir que la tutelle du ministère de la culture renforçait la légitimité de CulturesFrance.