Les amendements de Jean Arthuis pour ce dossier

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En introduction, M. Jean Arthuis, président, a souligné l'importance de cette audition, qui permettait à M. Michel Prada de présenter le bilan de trois années de régulation boursière, ainsi que son analyse des enjeux de moyen terme auxquels l'Autorité était confrontée. Il a évoqué, à cet égard, la fusion entre le New-York Stock Exchange (NYSE) ...

Puis, en réponse à M. Jean Arthuis, président, qui s'interrogeait sur le plafond pertinent de sanction, il a déclaré que l'AMF avait déjà formulé des propositions, portant en particulier sur une référence à la capitalisation boursière de la société à l'origine du manquement. Il a également plaidé en faveur de la faculté pour l'AMF d'interjeter ...

a souligné que la concentration, illustrée par l'opération entre le NYSE et Euronext, n'était pas nécessairement favorable à la concurrence. M. Michel Prada a répondu que si la concentration extrême des marchés réglementés pouvait être critiquée, la concurrence entre plates-formes boursières et autres systèmes de transaction était une bonne cho...

a regretté que la perspective d'un Espace unique de paiements en euros (« Single Euro Payments Area ») recueille peu d'intérêt de la part des acteurs politiques. Il a ensuite souhaité savoir quelle serait la pertinence d'un monopole boursier unique à l'échelle européenne.

En réponse à M. Jean Arthuis, président, qui s'interrogeait sur l'influence de ces fonds sur la gestion des sociétés dont ils étaient actionnaires, M. Michel Prada a répondu que « l'activisme actionnarial » ne concernait pas seulement la gestion alternative, mais encore de nombreuses catégories d'investisseurs. Il a souligné qu'il convenait de ...

En réponse à M. Jean Arthuis, président, qui s'interrogeait sur l'effet de levier des « hedge funds », M. Michel Prada a estimé qu'il était effectivement nécessaire de le contrôler. Il a toutefois souligné que, d'une part, l'effet de levier était actuellement beaucoup moins important qu'il n'y avait quelques années, de l'ordre de 4 à 5, contre ...

a enfin constaté que l'épargne française était plus investie dans les déficits publics que dans les entreprises, ce qui rendait celles-ci vulnérables.