Interventions de Jean-Pierre Caffet

Je ne suis pas convaincu que la notation d'une dette souveraine soit un bien public. Une entité privée pourrait tout à fait utiliser la méthodologie que vous préconisez. En outre, quelle serait la crédibilité d'une entité publique qui se noterait elle-même ?

depuis peu de temps.

depuis peu de temps.

Concernant les produits structurés, vous évoquez des notations co-élaborées entre les émetteurs et les agences. Finalement, n'est-ce pas la titrisation elle-même qui est en cause ?

Concernant les produits structurés, vous évoquez des notations co-élaborées entre les émetteurs et les agences. Finalement, n'est-ce pas la titrisation elle-même qui est en cause ?

Je comprends mieux à présent. Quant cette activité est-elle née ? En même temps que les agences ? Conseillez-vous des émetteurs ou des investisseurs ?

Je comprends mieux à présent. Quant cette activité est-elle née ? En même temps que les agences ? Conseillez-vous des émetteurs ou des investisseurs ?

Sont-ils vos clients pour cette activité seulement ?

Sont-ils vos clients pour cette activité seulement ?

Vous faites donc du lobbying pour les émetteurs ?

Vous faites donc du lobbying pour les émetteurs ?

Un groupe bancaire est aussi un investisseur. Comment faites-vous le partage ?

Un groupe bancaire est aussi un investisseur. Comment faites-vous le partage ?

Quel est le cadre éthique de votre profession ? Si vous vous apercevez qu'une agence surévalue une entreprise, en informez-vous quelqu'un ? Certaines entreprises notées AAA la veille se sont révélées être le lendemain dans une situation catastrophique...

Quel est le cadre éthique de votre profession ? Si vous vous apercevez qu'une agence surévalue une entreprise, en informez-vous quelqu'un ? Certaines entreprises notées AAA la veille se sont révélées être le lendemain dans une situation catastrophique...

Quand cette activité est-elle apparue ?

Quand cette activité est-elle apparue ?

Quel est l'intérêt pour une banque ?

Quel est l'intérêt pour une banque ?

Faut-il considérer ce rapport comme le Graal de ce que seront les agences de notation demain ?